Nos modalités d’intervention
Votre demande de prise en charge peut être formulée par l’usager, son représentant légal ou un aidant familial, mais également par un tiers prescripteur (professionnel de santé, service social, conseil département, caisse de retraite…).
Modalités de contact :
- Par téléphone
- Par courrier ou mail
- Lors d’un rendez-vous au siège du service
Modalités de prise en charge et d’intervention
Un référent usager est désigné pour chaque bénéficiaire, afin d’assurer la continuité du service d’aide à domicile et la qualité du suivi. La prise en charge se déroule en plusieurs phases.
- Évaluation initiale : elle est destinée à identifier les attentes et les capacités de la personne, à définir les prestations à mettre en œuvre et à élaborer un plan d’intervention.
- Suivi régulier : contacts fréquents avec la famille, échanges avec l’intervenant(e), réajustement éventuel des horaires, des prestations ou du personnel.
- Évaluation périodique : réévaluation une fois par an (et en cas de changement de situation, retour d’hospitalisation), qui peut donner lieu à un avenant au contrat.
- Évaluation de la satisfaction : enquêtes, recueil des avis, des réclamations et des suggestions des usagers…
Quelles aides financières pour l’aide à domicile ?
Si vous en avez besoin, vous pouvez demande à bénéficier d’une prise en charge financière (partielle ou totale) de vos prestations d’aide à domicile.
Votre responsable de secteur PAPH :
- Vous informera des démarches à effectuer en fonction de votre situation.
- Vous fournira le dossier à compléter.
- Vous aidera à le remplir si vous le souhaitez.
Les principales sources de financement de l’aide à domicile :
- Allocation Personnalisée d’Autonomie (APA), pour les personnes âgées de 60 ans et plus en perte d’autonomie.
- Prestation de Compensation du Handicap (PCH), pour les personnes en situation de handicap.
- Aide sociale départementale (sous conditions de ressources).
- Aides ponctuelles ou régulières des caisses de retraite ou mutuelles.
- Avantage fiscal : réduction ou crédit d’impôt égal à 50 % des sommes supportées, dans la limite des plafonds définis par la législation fiscale en vigueur.
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